Aujourd'hui rien ne se passe, hier rien ne se passe, le jour d'avant rien ne se passe. J'ouvre les fenêtres pour faire un courant d'air. Seul indice du temps, la brise. Les jours d'été dégoulinent infiniment le long du mois d'août qui s'étire, qui s'étire... Et puis septembre.
J'attends avec impatience le jour de mon affectation. Impatience ? C'est un euphémisme : je me plonge dans un coma auto-induit en attendant, enfin, d'avoir la réponse. De me remettre en mouvement. Chercher un appartement, restaurer un
équilibre.
serait-ce possible de dialoguer avec toi sur les doutes et problèmes d'anxiété en médecine ? Je traverse les memes choses, et je me sens proche de toi de par ton histoire dans ces études j'espère vraiment que tu répondras à ce message
Salut polyn,
RépondreSupprimerserait-ce possible de dialoguer avec toi sur les doutes et problèmes d'anxiété en médecine ?
Je traverse les memes choses, et je me sens proche de toi de par ton histoire dans ces études
j'espère vraiment que tu répondras à ce message
Oui, tu peux me contacter à cette adresse : valsegypaete [@] gmail.com
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